D’après mon expérience, un calendrier de retour sur investissement efficace doit dépendre des capacités de la solution, tout en tenant compte des processus internes du client qui sont décelés. L’utilisation d’un calcul générique du retour sur investissement pourrait se révéler désastreuse, car elle ne susciterait pas l’intérêt ou n’aurait pas de sens pour le métallier. Un autre aspect important d’un bon calendrier de retour sur investissement consiste à mettre l’accent sur les points forts du logiciel et sur ce qu’il apporte au-delà de ce dont le métallier dispose déjà ou de ce qu’un concurrent pourrait proposer.
Réduction à l’absurde
Une approche unique que j’ai récemment apprise pour créer des calendriers de retour sur investissement percutants est le concept de réduction à l’absurde. Par exemple, si 20 personnes effectuent une tâche 5 fois par jour, cela prend 25 minutes par tâche et notre logiciel réduit ce temps à 1 minute par tâche. J’effectuerais les calculs de retour sur investissement sur la base de 10 personnes effectuant la tâche 2 fois par jour et en 5 minutes. Ensuite, j’associerais cela au coût du module, puis je le diviserais par le nombre de jours ouvrables par an. Présenter le coût quotidien à côté de l’impact quotidien est un argument quantitatif très fort en faveur de la solution. Je vous en donne un exemple à la fin de ce blog.
Catégories de retour sur investissement
Les éléments du calendrier de retour sur investissement (RSI) peuvent être catalogués en différentes catégories et sous-catégories. La plupart des éléments des catégories méritent d’être mentionnés à l’entreprise lorsqu’ils s’appliquent directement à leurs problèmes commerciaux. Cependant, les éléments de retour sur investissement les plus pertinents ont des chiffres précis basés sur la réalité des capacités du logiciel et les défis réels rencontrés par le métallier. Voici quelques catégories d’un calendrier de retour sur investissement que j’ai pu identifier. Je me concentrerai sur le dernier élément qui est le plus utile et le plus pertinent dans le cadre de la prise de décision du métallier.
Il existe de nombreux domaines qui fournissent des résultats concrets, mais qui sont difficiles, voire impossibles, à quantifier. En voici quelques exemples : coût de substitution d’une mauvaise solution, coûts de personnalisation économisés, augmentation du taux d’acceptation des devis, utilisation de la technologie actuelle afin de réduire les problèmes causés par une technologie ancienne ou obsolète, etc.
Ce sont des éléments génériques et proches, voire même parfaitement similaires à ce que la concurrence pourrait offrir. Je pense qu’ils n’apportent pas beaucoup de valeur à la discussion et qu’ils ne différencient certainement pas le fournisseur de logiciel de quiconque. Par exemple, la plupart des entreprises disposent déjà d’un équipement décent ou d’un logiciel d’imbrication CAO/FAO acceptable. Donc, analyser ces points en agissant comme si le client ne disposait pas d’une telle solution, ou là où les différences sont marginales, ne se révèle pas très utile.
Évaluation des parties prenantes
Pour être pertinent, un calendrier de retour sur investissement significatif doit être basé sur la réalité. Les capacités réelles de la solution logicielle associées à la façon dont le métallier mène ses activités, ainsi qu’aux chiffres d’affaires réels (coût des matériaux, frais généraux, etc.) constituent une combinaison gagnante. Il faut donc parler aux différentes parties prenantes, comprendre leur flux de travail/processus de travail, réaliser des études de temps ou obtenir une estimation du temps consacré à chaque tâche. L’élément du retour sur investissement serait basé sur l’endroit où la solution logicielle simplifie ou supprime le processus et offre une valeur tangible.
Exemple
Produit : Lantek propose un plug-in qui permet de déplier et d’importer des pièces de tôle directement dans la base de données du logiciel CAO/FAO et en un seul clic.
Partie prenante : ingénieur ou concepteur CAO.
En savoir plus sur le processus : l’ingénieur écrase les fichiers, les exporte sous format DXF dans un répertoire, puis le programmeur importe les DXF dans la solution d’imbrication CAO/FAO de Lantek.
Feuille de calcul du retour sur investissement
Comparaison
Réduction à l’absurde
Cette méthode peut être appliquée à des processus pouvant être quantifiés lors des discussions avec les parties prenantes. Lorsque cela est réalisé de cette façon, le retour sur investissement est plus facile à prouver et plus crédible, car il est basé sur des informations réelles plutôt que sur des chiffres supposés. Contactez-nous dès aujourd’hui pour obtenir un calcul personnalisé de votre retour sur investissement !